Fin d’année oblige, Poneyland a eu envie de faire une sorte de petite récap’ de l’an passé. Et nous avons choisit pour cela de mettre au jour vos participations, quand elles nous ont fait rire, nous ont intrigué, ou ont attendri nos coeurs.
Et pour cela nous avons fait une petite sélection des critères de recherches qui vous ont amené sur notre Blog via des mots clés improbables tapés dans le Grand et Galant Google.
Nous commencerons en toute simplicité avec les moults et divers et variés orthographe, dans tous les sens, de poneyland, blog et wordpress, parfois devenu worldpress, fort charmant.
Viennent ensuite des recherches tournant autour de quelques titres phares de notre blog, dont « Insomnie cent ans de solitude », occasionnellement devenu « Mille ans de solitude » pour l’un de nos lecteurs, qu’on soupçonne d’être marseillais.
Aussi le « poème facebook » semble avoir touché quelques esprits, nous lui avons apparenté « poésie réseaux sociaux », comme quoi on peut créer du lien en faisant des belles phrases.
Quelques recherches bien ciblées dont sur « le chant universel », d’autres un peu plus fantasque avec notamment, beaucoup de rire attention, attention pour « yeux qui brûlent et qui gonflent après-ski », sans doute un sportif marqué par l’un des formidables quatrains de l’Episode 6 de J’aime ta Grand-Mère.
Puis nous avons beaucoup apprécié les diverses expressions de vos points de vue sur notre blog, comme par exemple « poésie de poney », l’un de nos préféré à coup sur, avec son homologue anglais « pony poetry », si mignon. Deux autres coups de coeur pour « l’ami des poneys », puisque c’est ce que nous sommes, ainsi que pour « poèmes sur les poneys », on va finir par se spécialiser en poésie naturaliste.
Nous notons aussi le très charmant « poème d’amour blog », à la fois simple et l’essence de ce que nous souhaiterions vous inspirer. Mention aussi pour « histoire poney humour », joli résumé. On vous remercie pour tant de douceur et de charme, tout ça sent bien l’amour et la tendresse.
Bien sur vous devez vous dire, que quand même c’est somme toute assez normal, qu’en tapant ce genre de truc on tombe sur le Poneyland.
C’est ainsi que nous en venons à du plus curieux avec en tête de liste, accrochez-vous, parce que là c’est du très lourd : « anguille dans la chatte ». Bon, on sait pas s’il faut y voir de la zoophilie ou juste des blagues, mais nous on est ‘total fan’ comme on dit. Dans le délire animalier, l’un d’entre vous est partit de « la description du poney lieu de vie », c’est quand même formidable internet, parce que celui-là il devait vraiment chercher des trucs sérieux sur les poneys.
Assez étrange aussi « poney du jour », un autre qui devait aussi chercher un truc précis et qui s’est retrouvé là par hasard. On soupçonne même que ce soit la concurrence qui vienne faire de l’espionnage industriel, mais en tant que Poney on a pas peur, ils peuvent toujours venir essayer de nous copier, c’est mort.
Un qui savait mais qui savait pas trop en même temps avec : « http://www.facebook.com poéme sex », on a pensé à un lecteur non francophone, ce qui serait pour nous un véritable honneur.
Du coup deux mentions pour « poème pour steven » et « poème nom steeve ». Nous on avait écrit un poème pour le patron d’Apple, mais bon on a bien du comprendre qu’il fait pas chavirer tous les coeurs. Du coup on a décidé d’écrire un poème pour ce fameux Steven, qui suivra ce post.
Et enfin… La catégorie que vous attendiez tous, la catégorie des recherches cul, avec au top des mots qui revient le plus, le mot pute, arrangé à toutes les sauces, avec quelques redondances, qu’on n’espère pas issu d’un quelconque trauma avec « connasses putes », « les putes de daumesnil » et « pute avenue daumesnil » en rèf à ‘Connasses de putes’. On tient à préciser, en cas de méprise que Daumesnil a été choisit ‘pour la rime’. D’ailleurs le poème a été validé par les grands éclats de rire du comité de ‘La Pute Assumée Et Alors Ca Te Pose Un Souci Que Je Sois Mieux Que Tout Le Monde ?’
On a rit aussi avec « clara morgane blog »… Poneyland est décidément en train de devenir un repère salasse et pervers.
Encore du rire avec « pute et poney », les putes en nous se réjouissent d’avoir enfin trouvé leur public. Formidable aussi le « alcool + poney », c’est donc ça le Poneyland, le pays des putes et des poneys qui se défoncent grave la tête. On va devoir faire rapidement un poème sur la poudreuse histoire de parachever le tableau !
Ainsi nous en arrivons à la conclusion de cet article avec vos deux recherches qui ont, dans deux styles bien différents, le plus marqué nos esprits de poneys pervers, Poney XX a choisit le simplissime, so sharp et implacable « teub ». Un mot, un membre, un poney, une vérité, un Poneyland, un blog, celui qu’on recherche en tapant simplement « teub », pas besoin de rien de plus. Parfait.
Et puis le dernier choisit par Poney XY, très lourd, à la fois trash et beau, l’essence d’une idée mise dans une image ultra décalée : « elle branle un poney ». Hyper improbable, métaphore dérangeante d’un art en train de naître, là on vient toucher au coeur du concept de Poneyland, parfaite rencontre entre la nature et l’homme. Ça donnerait envie d’en faire notre logo.
Sur ce, les putes de poney alcooliques que nous sommes vous remercie de nous avoir fait rire aussi, en espérant vous revoir vite dans d’autres recherches improbables du Great Google. Et on vous souhaite une bonne fin d’année 2010. Hasta la vista, baby ! And see you in Poneyland !
Étiquette : sexe
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Critères de recherche Google pour Poneyland
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Ep. 8
Une vielle crotte de bique
Avec trois dents en plastique
A voulue de façon ludique
M’apprendre à manier mon bicJe lui ai dis : « Vielle dame
Ce n’est pas un souci
Ouvrez donc ma trousse
Voir comme ma plume est douce.Pour la faire fonctionner
Enlevez donc votre dentier
Il suffit de faire coulisser dessus
Vos gencives toutes nuesVous pouvez serrer les mâchoires
Mon stylo n’en sera que ravi
Oui, comme ça, sur les genoux comme quand vous priez.
Bientôt je remplirais votre encrierÇa y est ! Vous avez récolté mon fluide épais
Avalez-le
Cela vous donnera bon teint
Et le bon teint ça ne mange pas de pain.Maintenant c’est moi qui vous ai appris
À driver un plumeau,
Z’avez vu comme c’est beau
De se sentir salie ?Faites donc voir votre chandail
En vielle laine qui pue,
Que j’y essuie dessus
Les trois gouttes qui reste en rabe.Deuxième leçon,
Enlevez robes et pantalon,
Mettez-vous à quatre pattes comme si vous recherchiez une pile tombée sous votre guéridon
Et mordez un de ces pieds en laiton.Je vais vous faire gonfler le pamphlet,
Une lecture toute intérieure
Vous verrez c’est là que ma plume est la meilleure.
J’ai oublié, enlevez votre dentier de nouveau pour ne pas le casser.Disons que vous êtes une touche de clavier,
Choisissons la lettre Q
Que je tape très fort, très sec, comme un belier
Je vous entend couiner comme un gon de porte mal huilé.Il suffit maintenant que je vidange
Sur votre odorante rigole
Mon litre d’encre blanche
À disposition des petits cotons et une bouteille d’alcool.J’aime ta grand-mère.
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Ep. 7
Rémi.
Mon pote s’appelle Rémi,
Il gagne 200 euros toutes les semaines
En offrant ses charmes
À madame PotinMadame Potin aime surtout se faire tirer la peau par le cul,
Elle mange beaucoup de saucisson avec beaucoup de pain,
Ça lui donne bon teint.Mon pote Rémi une fois par semaine
Est obligé de beaucoup boire
Car madame Potin
Elle est très moche,
Elle est grosse et chauveMais comme mon pote Rémi il crève la dalle
Il va gagner son argent avec son bamboo.
Le pire s’est produit lorsque madame Potin
A fêté ses 78 ans.
Elle avait invité madame Masset et madame Grillon
Pour une partie de plaisir à 6 mains sur ce pauvre RémiMadame Potin avait mis les formes
Saumon fumé en entrée et cassoulet en plat principal.
Le ventre repu, nos quatre loufoques
Allaient laisser s’échapper leur timidité,
Mais Rémi n’a qu’une bite
Alors c’est chacune son tour,
Avec une offre préférentielle
À 500 euros les trois culs flétris.
J’aime ta grand-mère.
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Ep. 5
Salade à Cap Pulco
Midi heure du crime
Le soleil avait raison des ombres
Le Cap Ferret c’est sublime
Surtout l’été chez mamie CunégondeSortie de discothèque
Je m’étais échoué sur une plage
On entendait au loin la tech’
Le ventre vide avec une fille pas sageDe retour chez Nicolas,
Mon meilleur copain
C’est elle qui préparait le repas
Et allait nous acheter du painLui n’était toujours pas rentré
Sans doute dans une forêt en train de dessaouler
Et je l’avais pour moi tout seul
Ses attentions sous son linceulJe suis rentré dans la cuisine
Elle s’agitait sur un concombre
Je regardais ses petites mimines
Qui le dégorgeaient dans la pénombreEt mon coeur
Comme une bombe
Battait l’heure
Où je succombeDerrière ses lunettes
Je voyais des yeux appliqués
Et sous ma braguette
Les souvenirs de ma nuit passée.J’aime ta grand mère
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Les garçons/Les filles/L’amour
J’en ai connu des types
Qui se branlaient avec des vers
Moi je leur ai roulé la bite
Avec mon stylo vertJ’en ai connu des types
Qui s’faisaient rimer la courge
Moi je leur ai cuit la bite
Avec mon stylo rougeJ’en ai connu des types
Qui s’alexandrin la queue
Moi je leur ai compté la bite
Avec mon stylo bleuJ’en ai connu des types
Qui arrêtaient pas de s’y croire
Moi je leur ai ficelé la bite
Avec mon stylo noir******************
J’en ai connu des filles
Qui jouaient au stylo quatre couleurs
Elles marchaient sur des aiguilles
Et elles crevaient tous les coeursJ’en ai regardé des filles
Qui f’saient tourner les quatre saisons
Autour de leurs bas résille
Et les coeurs des garçonsJ’en ai tant vu des filles
Qui maniaient les quatre éléments
Qui s’agitaient dans leurs esprits
Pour leur causer des tourmentsJ’en ai tant vu des filles
Qui bougeaient à quatre temps
Pour pas se compter les rides
Et les amants sans amour.******************
J’en ai connu des tas de gens
Qu’on aurait voulu rendre heureux
Mais au fond dans tout ça y’a
Quand même trop souvent
Des histoires ou on se dit pas
Qu’on est amoureux.
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Le Grand Test : Avez-vous l’âme d’un Poney ?
Sans doute comme tout le monde, il y a des matins où cernés et blafards, vous vous regardez dans le miroir en vous demandant avec toute l’ampleur de vos angoisses existentielles : Mais bordel, qu’ai-je fais au monde, au Seigneur dans le Ciel pour mériter un tel sort ? Une telle gueule ? Pourquoi dois-je souffrir une telle accumulation de supplices infâmes qui font de ma vie une permanente bataille contre moi-même ? Que dois-je faire ? Que m’est-il permis d’espérer de ce monde ou les règles changent si vite ? Ou vais-je ? Mais surtout… Qui suis-je dans ce monde ?
Bingo. Vous venez d’accéder à La Question, celle qui trépigne au fond de toutes les inconsciences et remonte de temps en temps sous forme de bouffées de stress, d’anxiété, de peur et de paranoïa. Parce que votre conjoint remet en doute votre relation, parce que votre patron émet quelques suspicions quand à la nécessité contingente de votre poste, parce que vos enfants n’en ont plus rien à foutre de ce que vous devenez, parce que votre chat ne recherche plus votre affection, parce que les fleurs du balcon poussent sans vous, parce que les nuages volent sur les airs d’un autre souffle, parce que la terre tourne sans que vous n’ayez plus à lancer sa course.
Alors comment retrouver sa place dans ce monde ou la cruauté de Dame Nature fait loi ?
En découvrant le Poney qu’il y a au fond de vous. Pour savoir si vous avez le Poney demandez-vous si vous aimez les frites. Si vous aimez les frites, au même titre que votre petit(e) ami(e) ou la chose qui vous est le plus cher, vous avez le Poney.
Pour ceux qui n’aiment pas ça, désolé vous pouvez arrêter maintenant, parce que les frites c’est sacré, on ne mange presque que ça au Paradis des Poneys. Au Paradis des Poneys on mange aussi des beignets de beurre, on écoute les Beatles, on se fait des bouboules, on fume de l’herbe et on se branle.
Mais allons tout de suite à la recherche de votre Poney. Tout d’abord il va falloir déterminer quelques éléments fondamentaux. Concentrez-vous, ne pensez à rien, à chaque mot suivant il faudra laisser la première réponse spontanée vous envahir.
couleur ! Laissez la couleur qui vous apparait vous submerger, puis associez-lui… Un jour de la semaine. Laissez ce jour et cette couleur vous rassurer. Puis donnez-leur… Un chiffre. Ce chiffre ne doit pas vous faire peur. Il faut que vous soyez aussi bien dans ce chiffre que… Dans votre forme.
Voilà les quatre éléments dont vous avez besoin. Ils représentent : votre sensibilité de Poney, votre calendrier de Poney, votre intellect de Poney et enfin votre espace de Poney. Votre Poney correspond exactement à ces éléments réunis. Vous comprendrez très bien par vous-même leur signification, il suffit de suivre son instinct. En suivant votre instinct (le plus souvent en forme de frite), vous suivrez votre Poney, et l’entraînerez vers son envol. Pour lui donner vie allez sur : http://www.jeux.fr/jeu/joli-poney.html.
Donc demain matin, avant de vous demander quel anti-cerne utiliser pour masquer votre angoisse, pensez à vos éléments et suivez votre Poney, vous verrez que rapidement vous n’aurez plus besoin d’anti-cerne. Mais que vous aurez très envie de frite trempées dans le jus d’orange à la coriandre.
Le jour ou vous le faites vous êtes un vrai Poney.
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Ep. 4
Ô ses seins,
Ses seins lourds et grave
Pendant comme la solitude d’une cave
Que l’on ne visite plus,
Une cave abandonnée
Après le pillage
Des jeunes années.
Sa bouche molle, ses lèvres meurtries
Toujours tendues vers l’inconnu
Attendent avec dépit.
L’antre, la grotte qu’elle abrite
Attend elle toujours une…
Le malheur, au fond de son coeur,
Les espoirs qui brillent au fond de son regard,
Sa main tremblante et tachetée
Comme si elle cherchait à agiter
Un rêve, une vision d’oasis
Ou se réunissent tous les vices.
Il faut donner sa chance à chacun
Et moi j’ai le coeur sur la main.
J’aime ta grand mère.
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Ep. 3
Un jours tout endormi
Y avait Julien Lepers dans mon lit
Il me posait un tas de question
En lisant très vite son cartonMoi j’voulais qu’il aille
S’faire fourrer l’cul à l’ail
Mais il continuait à causer
Dans le fond de ma teutèJ’aime ta grand mère
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Poupounette
Je ne répond aux ordres de personne
Ni de mon père ni de ma mère ni d’un patron
Ni d’un politique ni d’un président encore moins d’un sale con
Je nargue joyeusement les conseils de ma sœur, de ma nièce
De toi, de lui, de elle, de eux
Je n’ai qu’un maître ici-bas
Et son nom c’est Poupounette ma kékette
Accro à la craquette de plus de 18 ans d’âge
Poupounette c’est ma loi, ma tête, ma conscience
C’est ma super kékette à moi
Je partage Poupounette aux demoiselles qui ont des craquettes
Quelles soient poilues, imberbes, grosses, petites, brunes, blondes, rousses, sans odeur
Celle qui pue, celle qui suinte et j’en passe
Poupounette me fais courir plus vite que Carl Lewis
Quand elle sent un petit cul se trémousser sur le trottoir
Sur une piste de danse
Poupounette c’est mon super radar
Une super star de tous les instants
Grâce à elle on me nomme Poney Boy
Connu dans les cercles charnels interdit au moins de 18 ans.
Elle est accompagnée de M et de C
A savoir Mes Couilles, mes roubignoles
Deux boucles d’oreilles qui orne toute ces craquettes,
Rien que d’en parler j’en salive
Mais Poupounette et moi de parler de cul on s’permet
On s’permet
On s’permet
On spermait
On spermait
Dans les craquettes !!!!!
Elle me dicte des phrases à la con mais si poétiques :
«T’as de belles dents toi
Elles feraient un super collier de perle à Poupounette.»
Vive la nation de la fellation
Que la craquette soit reine au royaume de Poupounette
Poupounette c’est du 7 kilos, un avant-bras de nain
Elle fait du 9 litres au cent
Et elle a 4359 petits culs et craquettes à son compteur messieurs dame !
C’est la Ferrari du lit pour la puissance
Et la dodoche niveau endurance
Plus violent que 10 Rocco en même temps
Poupounette c’est la tempête des strings
Qui te déplace la colonne et te fêle les côtes à chaque percussion
Et encore je la gère,
Car si je me lâche, un coup dans la craquette provoque un saignement nasal…
Ma poupounetator
Je t’aime je t’adore !





