Je ne répond aux ordres de personne
Ni de mon père ni de ma mère ni d’un patron
Ni d’un politique ni d’un président encore moins d’un sale con
Je nargue joyeusement les conseils de ma sœur, de ma nièce
De toi, de lui, de elle, de eux
Je n’ai qu’un maître ici-bas
Et son nom c’est Poupounette ma kékette
Accro à la craquette de plus de 18 ans d’âge
Poupounette c’est ma loi, ma tête, ma conscience
C’est ma super kékette à moi
Je partage Poupounette aux demoiselles qui ont des craquettes
Quelles soient poilues, imberbes, grosses, petites, brunes, blondes, rousses, sans odeur
Celle qui pue, celle qui suinte et j’en passe
Poupounette me fais courir plus vite que Carl Lewis
Quand elle sent un petit cul se trémousser sur le trottoir
Sur une piste de danse
Poupounette c’est mon super radar
Une super star de tous les instants
Grâce à elle on me nomme Poney Boy
Connu dans les cercles charnels interdit au moins de 18 ans.
Elle est accompagnée de M et de C
A savoir Mes Couilles, mes roubignoles
Deux boucles d’oreilles qui orne toute ces craquettes,
Rien que d’en parler j’en salive
Mais Poupounette et moi de parler de cul on s’permet
On s’permet
On s’permet
On spermait
On spermait
Dans les craquettes !!!!!
Elle me dicte des phrases à la con mais si poétiques :
«T’as de belles dents toi
Elles feraient un super collier de perle à Poupounette.»
Vive la nation de la fellation
Que la craquette soit reine au royaume de Poupounette
Poupounette c’est du 7 kilos, un avant-bras de nain
Elle fait du 9 litres au cent
Et elle a 4359 petits culs et craquettes à son compteur messieurs dame !
C’est la Ferrari du lit pour la puissance
Et la dodoche niveau endurance
Plus violent que 10 Rocco en même temps
Poupounette c’est la tempête des strings
Qui te déplace la colonne et te fêle les côtes à chaque percussion
Et encore je la gère,
Car si je me lâche, un coup dans la craquette provoque un saignement nasal…
Ma poupounetator
Je t’aime je t’adore !
Étiquette : bite
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Poupounette
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A la teub que je n’ai pas
Je n’ai pas de phallu’, je n’ai pas de dard,
Je n’ai pas de péni’,
Je n’ai pas de bite,
Je n’ai pas de kékette
Je n’ai pas de zizi
Pas de vis, pas de verge, pas de gland
Aucune paire de couilles que je prenne pour une carrière de diamant
Pour pouvoir dire que je fais l’amour à la poésie.
Je ne peux prétendre à la faire jouer,
A la faire jouir,
A me jucher sur sa béance pour mieux m’y introduire.
Je ne la saute, ni ne la baise, et ne la nique pas
Je ne la fourre sous tous les fastes d’aucun membre droit
Je ne la prends par aucun pore de son ravissant corps
Chaos béant…
Au diable Le mystère du vide !
Je flippe, dans mon slip…
Y’a que du néant.
Et pourtant et pourtant…
Mais au comble ! La poésie sort de moi
Alors que… Goddamned ! Je n’éjacule pas.
Alors si tous les hommes baisent les cambrures de Dame Poésie
Alors qu’elle vienne me naïker de sa gracieuse frénésie
C’est un coup à finir castratrice ou bien lesbienne
Ou encore à ne pas finir du tout ce poème.
Non !
Je décide que je passerais mes journées
Mes journées à me toucher
A me toucher toujours plus fort
Pour qu’elle m’aime encore
Et plus je l’aime, plus je jouis
Et plus je m’aime plus j’ai du génie
Alors je me Shakespeare
Jusqu’à mon dernier soupir