Étiquette : amour
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Initials B.B. (post évolutif)
Initials B.B. : Bitch with Blog, par exemple les deux tenanciers de ce blog. Le genre de grosses merdes qui dit : « Je peux pas t’expliquer mais va voir sur mon blog. »
Initials P.P. : Perdue à Poussette, individu identifié féminin dont l’âge n’est pas suffisamment avancé pour qu’elle renonce complètement à sa sensualité et qui place une énergie faramineuse à conserver un physique adolescent. Se promène dans les rues armée de son chiard, tortille du cul, cherche les regard, se donne des airs hyper cool, rigole très fort, etc… afin de continuer à se sentir désirable pour les autres membres du clan, malgré sa progéniture. Tente par la même de leurrer le groupe quant à sa liberté d’agir et à sa formidable émancipation, qui ne sont malheureusement que des façades et non sujet d’actions car totalement oppressée par les normes du clan. Sad.
Initials A.A. : Ado attardé, individu identifié masculin dont l’âge est suffisamment avancé pour ne plus pouvoir s’habiller comme au lycée, MAIS qui continu afin d’évacuer la frustration de ne pas avoir pu s’acheter toutes les baskets qu’il désirait tant quand il n’en avait pas les moyens. Arrivé à l’âge de travailler et de gagner de l’argent en faisant du graphisme ou de la pub, il s’affuble de baskets multicolore, de Ray-Ban flashy, de pantalons informes, de Mac et de IPhone.
Certains ont un/une partenaire sexuel/le régulier lorsqu’il souhaite maintenir une attache aux normes du clan, quand d’autres s’y refusent afin de pouvoir continuer à se prendre pour des bêêêêtes sôôôôvaaages.
Initials R.R. : Ragasse à Rayures, individu identifié masculin ou féminin dont l’habitat naturel se situe principalement en Gironde, qui se vêt de textiles généralement totalement hors de prix (out of price) MAIS à Rayures bleues/blanches afin de se donner un genre marin-glamour-fashion-aventurièr/e, et cultiver la contradiction, puisque la plupart ne savent même pas faire la vaisselle, et se noieraient probablement en passant la serpillère.
De plus nous savons que l’individu remplissant véritablement le rôle de pêcheur dans ce type de clan n’a absolument rien à faire de son look, il recherche avant tout confort et solidité. La mini-robe à épaulette bouffantes n’étant pas son uniforme de prédilection.
Initials S.S. : Salope Schizophrène, individu identifié masculin ou féminin, ayant un comportement par définition ambivalent. A la fois putassier et exécrable, il/elle peut se révéler profondément généreux(se) et torturé. Sa condition le/la pousse à une incompréhension assez avancée de ses semblables, qui à 50% y voit un individu bon à brûler, quand les 50% restant développe une affection compatissante à son égard. Mais bizarrement lorsque l’individu est dit masculin il est bien mieux compris par l’ensemble du clan (cf Don Juan/Tombeur) que lorsqu’il est dit féminin (grosse pute/salope chaude).
A croire que la testostérone est un vecteur implicite de communication, malgré l’infirmation absolue de cette hypothèse par nos correspondants en neurobiologie.
Initial T.T. : Troller Terrifiant, individu identifié masculin ou féminin, qui se donne pour rôle de foutre la merde partout où c’est possible dans l’espace d’internet, de façon tout à fait implicite, secrète et anonyme, en proférant des paroles plus ou moins douées d’intelligence. Malheureusement la notion de discrétion n’étant pas également défini dans l’intégralité du clan, ces individus au manque de finesse légendaire se pense passer inaperçu lorsque plane au dessus du moindre de leur mot : grosse connerie//provocation gratos//mon clavier sent les couilles/la chatte que je me gratte en permanence//je passe ma vie sur mon ordi//vous ne me connaissez pas mais vous savez tous/toutes qu’au fond je suis très très seul(e) ou très très frustré(e) ou les deux…
Individu dont le comportement relativement moderne (par sa nouveauté) lui permet de se croire incroyablement original et subversif, alors qu’il/elle ne fait qu’exprimer la pression/frustration sociale du clan que nous vivons tous.
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Ep. 12
J’porte la voix
Vers son sonotone
Elle est bonne
Quand elle comprend pasQu’j’veux mordre les tétons
D’ses nichons laiteux
Quelle me touche le pantalon
Au niveau de ma queueMémé est froissé
Je suis une bite de fer a repasser
Avec vapeur intégrée
Dernière générationJ’fais abnégation
D’sa petite fille de ces jurons
Elle sait pas la petite puce
Comme mon coeur tabasse
Quand sa grand mère me suceUne fois la lipé fut telle
Que les draps de coton
Par de surréaliste aspiration
Me sont rentré dans le colon
C’étais bon!Et encore trêve de fellation
Mamie en a d’autre dans son sac a main
Avec la chatte avec le cul avec les seins
Elle gobe tout, humide comme le poissonGrand maman aime ma bite
Quand je l’enfourche
Elle se mord abusé la bouche
Et bouge ses vieux bras chelou
A en croire que l’diable l’habiteLa Bitch, pendant l’repas du dimanche
Elle me fait du pied sur le manche
Et quand elle prend une banane et qu’elle la mange
Elle me fait des regards qui me dérangentVis a vis de sa fille et d’son gendre
Qui ne calcule pas le p’tit manège
Qui se trame sous ces cheveux blanc comme neige
Tout est prétexte pour que je bandeElle me le dis souvent lors de nos ébats
Il faut toujours que je sois fier comme un cerf
Un arc badant dirigé sur le delta
Fou et plein de vigueur pour grand-mèreJoyeuse Pâques et surtout J’AIME TA GRAND MERE
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About the fact of licking…
I try with my brain
To understand
How did I get
To that point,
But it doesn’t matter,
I assume n’ keep on.
I wasn’t on stage,
Not even repeting,
So I don’t know how,
But I had some ink
On my mouth,
On my tongue,
N’ my poems were far,
They always stay at home.
So I know it’s not one them
Which attack me or what,
And I don’t understand
How happened all that.
I was trying to find,
Not in the sky,
Something like a link
To make sense about it.
The ink on my tongue,
The link in my head,
Yeah I know !
I’ve been licking one poem !
But who’s poem it is ?
It taste so different !
Is that lemon or ice cream ?
No ! I know ! I got it !
Between childhood and spring
Sugar and skin
Smooth and bitter,
Red and pepper,
Like space infinity
To the bite of reality,
Or some crème chantilly
On the top of coffee,
I was licking your poem,
And it taste like strawberry.
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Leçon de chose : la naissance du Poney
Après plusieurs mois d’activités, plus ou moins intenses, ils nous est apparu suprêmement fondamental de faire le point sur une chose, ou devrais-je dire une question : « Mais en fait, c’est quoi un Poney ? »
Excellente et glorieuse interrogation !! C’est vrai ça, qu’est-ce que c’est donc que ces bêtes étranges ?! Alors c’est parti les enfants !
Tout d’abord ce sont des mammifères, ils ne font donc pas d’oeufs, de sexe Poney ou Poney peu importe.
Contrairement aux croyances populaires, qui les décrivent comme des animaux sympathiques, amicaux, joyeux, romantiques, délicats, attendrissants etc… et autres bullshits, le Poney se distingue par un caractère à la particularité si lourde qu’il est bien plus antipathique et rebutant de prime à bord que n’importe quel autre animal.
En fait le Poney, pour être honnête est devenu un gros bâtard. Il faut dire que le Poney, originellement inoffensif et je-m’en-foutiste s’est vu tellement maltraité par des générations de petites personnes chez qui on incita des comportements suspects, que le Poney s’est vu depuis des générations dans l’obligation de devenir ce genre de petit salaud hypocrite.
Donc à la base, ou plutôt au fondement, le Poney est un gros branleur.
Le Poney, gambadant, libre et égal face à Dame Nature, vivait tranquillement dans sa grande inconscience, et se livrait sans préjugé à l’existence de fégnasse qu’il s’était trouvé. Il était le symbole de que dalle, à part peut-être de la brave bête inutile. Moins rapide qu’un cheval, moins tenace qu’un âne et de toute façon plus petit, tout dans sa constitution le portait à glander.
Mais comme tout dans notre société, un jour le Poney a vu son image corrompue, commercialisée, instrumentalisée par des êtres humains avides de profits et de stéréotypes qui encerclèrent de force ces pauvres bêtes des murs sans fin que sont les clichés et les idées reçues.
Ainsi le Poney avant d’être rose, vert, bleu, mauve, ou arc-en-ciel était juste blanc, marron, gris ou noir et n’en avait rien à foutre.
Mais soyons francs, le Poney s’est bien sur quelque peu servit de cette image publicitaire qu’on lui collait sur le dos pour se faire une place au pays des humains. Cependant, au plus grand secret, quand enfin seul le Poney enfouissait dans les méandres de son coeur sa Véritable Raison d’Être, en tapissait chaque nervure des images de son passé.
La nature, les champs, les fleurs, les frites, ses envies de geeker sur le net, son plaisir à fumer des joints et à boire des verres avec ses potes, ses mots absurdes, ses excès au goût de blague, son mauvais esprit et tout le reste formant des fresques sans fin dans les couloirs de sa mémoire.
C’est ainsi qu’au fil des générations vit le jour un Poney Super Sayen Troisième Transformation, ni blanc-marron-gris-noir ni rose-vert-bleu-mauve-arc-en-ciel, mais un Poney de lumière, qui Est avant d’être Poney, qui vit son genre et sa forme par delà les conditionnements, qui accepte le code de la vie mais refuse les dictats, s’éloigne des lois par pure honnêteté, cherche l’humain en chacun de nous.
C’est ainsi que vit le jour un nouvel être vivant, pour un nouveau monde. Et ce monde il l’appela Poneyland.
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Remords et grosses dentelles
Les remords
Habillent mon corps
Comme
De la lingerie taillée à la truelle
En grosse dentelleAvec de vilains noeuds
Trop gros, trop faux,
Comme du fard à paupière
Coupé
A la peinture à l’eauDu satin de synthèse
Couleur bleu piscine municipale
Qui ondoie sur mes rondeurs
Avec la grâce
D’un chacalDes guipures en poil de crin
Qui tisse des formes affreuses
Des motifs poils de bite
Crispés
Sur une cuisse graisseuseMes remords
Habillent mon corps
Du voile de soie
Fripé, tâché
De la colère et du désarroiIls couvrent ma peau
De petits boutons rouges
Pour que j’y accroche
Des panneaux :
« Je suis moche »Carambolages de bretelles,
De crochets, de jarretelles,
Qui dégringolent de ma garde-robe
Et s’écrasent
Sur le sol en désordreOn oublie les réflexes,
Les « bons gestes »
Et aujourd’hui tout ce qui me reste…C’est des remords qui habillent mon corps
D’élastiques trop tendus
Qui creusent à l’infini
Des bourrelets bien mous
Dans le foi, dans le bideDe résille à un franc,
Qui taquine la jambe
Entre ex-salope et pute niaise,
Faut pas trop se croire bonne,
A croire que ça rend conne.Alors je me ballade à poil,
A dos de poil de chatte
Exhiber mes regrets
Avec ou sans soutien-gorge
Et tant pis si on me dit
Qu’être triste c’est moche.J’assume, je montre
A la vue du beau monde
Des larmes incarnées
Dans un string Prix Gagnant
Des douleurs lassantes
Qui gonflent mon bonnet.On fait tous du 300 K
Au fond de soi.
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La révélation du Jour
Oh la jolie pub MSN Messenger dans ma jolie boite mail !
Déjà je m’extasiait sur les titres ronflants de la newsletter MSN Femme (merveilleux concept) qui mêle avec un savoir-faire inégalé des choses radicalement différentes et font des melting-pots sans nom.
Du genre : (véridique) : « Le best of de la Fashion Week, astuces maquillage pour un smoky eye, c’est la saison du potage… »
L’association regard smoky/potage étant formidable.
Une deuxième pour la route (et sans doute l’une des meilleures) : « Cures detox, doudounes fourrées, objectifs orgasmes, soupes d’hiver » = grosse barre de rire.
Donc, comme on le constate MSN Messenger Windows, la plus grande fenêtre du monde, fait des lumières en terme de com’.
Mais bon là, la jolie petite pub’ qui traînait dans ma petite boite mail m’a quand même donné envie d’aller lire un peu ce qu’elle avait dans les tripes. Pour commencer le titre : « Draguez en HD ».
Comme si nous étions encore assez crédule pour croire qu’on drague sérieux avec MSN. Je sais pas pour vous mais les seules fois ou j’ai « dragué » sur MSN c’était des conversations pseudo sulfureuses, parfois douteuses, surtout de la personne derrière l’autre ordi, parfois sans queue ni tête (je pèse mes mots). Donc pour la drague ouais bof.
Mais bon je me suis tranquillement acheminé vers le corps du mail, avec une photo d’un type en train de se désapper devant sa caméra (tellement sexy… je bave) et une go en train de faire de même.
La seconde partie du problème venant du sublime petit texte à côté de cette charmante photo tellement naturelle et réaliste (on échappe à la branlette MSNique qui vient juste après..? Perso, je trouve pas ça très bandant).
Et le texte, le voilà : « Que vous soyez à des kilomètres l’un de l’autre ou que vous viviez ensemble, pimentez votre couple grâce à la vidéo en HD ! Hé oui, quoi de plus hot qu’une petite conversation à deux sur Windows Live Messenger qui mêlerait l’image au son ? On vous l’assure, la « Drague en HD » bien souvent, c’est mieux qu’en vrai ! »
AH BEN OUI BIEN SUR !!! Voilà ce qui manquait à nos vies !!! La drague virtuelle d’une, MAIS EN HD M’SIEURSDAMES ! Moi je pimente pas ma vie de couple en basse qualit’, non mais oh pour qui tu me prends ?!!
D’ailleurs c’est comme ça que j’ai séduit mon poet actuel, en me foutant à poil devant ma caméra numérique le tout en HD. Et c’est quand j’ai vu le rendu hyper fidèle de sa bite en gros plan que j’ai craqué. Et peut-être encore plus quand j’ai entendu ses gémissements félins parfaitement discernable du flop-flop de ses couilles. Honnêtement, c’était trop beau.
Donc franchement MERCI MSN ! Sans toi, je ne sais trop où irait le monde.
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Chips, biscuits, calories
Chips, biscuits, calories,
Remords, encore,
Coca, sucré,
Caries, regrets.
Sourire, oublie,
Beauté, jeunesse,
En avant, apprêtée,
Délice, du sexe,
Jamais arrêter,
Courir, voler,
Passion, frénésie,
Pouvoir, puissance.
Éclats de rire,
Briller, lumière,
Des yeux, de la voix,
Inonder la terre
De la joie d’être soi.
Voler, subjuguer,
L’univers, les coeurs,
Étoile majeure,
Partout, tout le temps,
Je sais, je suis,
Je vais, je veux,
J’exige, j’obtiens,
Irradier, désirs,
Beauté, jeunesse,
Frénésie, oublie.
Souvenirs, soutenir
Le regard du miroir,
Rappel, absent,
Seul, le soir.
Courir, marcher,
Finir, par s’écraser.
Angoisse, torture,
J’ai un coeur au fond,
Seul, dans le noir,
Creuser, une tombe.
Chacun son tour,
Souffrir, maudire,
Je veux de l’amour,
Trop tard, je veux fuir.
Accepter, vomir,
Crier, j’ai mal,
Le monde,
Tout le monde,
S’en fout.
Normal.
Le goût, l’odeur,
Amer, rancoeur,
Je passe, j’efface,
Les restes, ces gestes.
Seul, fumer
Ses neurones, son fric,
Mauvaise passe,
Double sens,
Salope, sabrée,
Vodka, solitude,
Échec. Épave,
Écueil. Rivage.
Éveil, sursaut,
Le sable et l’eau,
À l’aube, à l’aurore,
De l’or sur la peau,
Souvenir, soutenir,
Le regard du miroir.
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Sexe&Sondage
Ce soir Poneyland, afin de vous distraire avant votre beuverie hebdomadaire du samedi soir parfumée à la schnouf, vous propose un petit sondage drôle et sublime.
Cordialement
Amour&Décadence/Poneyland(j’aimerais bien que les gérontophiles, qui sont légions à venir visiter ce blog, s’assument un peu plus que ça…)







