Theodor J. Mayer

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  • La Génèse du Monde

    (LePoney … DuMondebyReve230295)

    (LePoney … DuMondebyReve230295)

    15 juillet 2011
    IMAGES

  • Mon pote Jojo

    Mon pote Jojo
    Il met du chite partout
    Dans le pain, dans le vin,
    Dans les choux

    Des barrettes
    Dans les cheveux
    Des savonnettes
    Sur le lavabo

    Des boulettes
    Dans les…

    CE POÈME N’EST PLUS DISPONIBLE DANS SON INTÉGRALITÉ DEPUIS SA PARUTION DANS L’OUVRAGE COLLECTIF À L’OUEST LES POÈTES.SES AUX ÉDITIONS EX-MAUDITS DISPONIBLE ICI ET EN LIBRAIRIE. POUR LA SUITE RENDEZ-VOUS DANS LE LIVRE 🙂

    7 juillet 2011
    AUTRES AUTEURS, POÉSIE

  • Non, non tu ne peux pas lire ma face de poker

    6 juillet 2011
    IMAGES

  • Cow-boy & Amor

    I wish I could say
    Some of those lovely words
    That flys in the sky
    With their wings of iron

    On the air I whisper
    In a microphone,
    The sound of the words
    On the wind that I moan

    Feel to shy, too stupid
    To say easy things
    That makes curves in my head
    ‘Round the steel of my lips

    If I scratch the cover
    There’s softness and curls,
    And a rope of red roses
    To bind our bodies.

    But human create metal
    Carpets, sidewalks, and office
    Things open but others closed
    Because humans are weaks

    And I love but I hide
    Behind the shield of my words
    « Don’t care if you die,
    You fucking mother fucker. »

    Cow boys are loner,
    Because of guns and girls,
    Guns kills for ever
    Girls are eternal pearls

    I wish I wouldn’t be one
    But things have to be done
    So remember that song,
    It’s for you that I’ve wrote…

    Mon amour under my armor
    Mi amor on a book,
    Let me love you from far
    As far as I shoot

    Cans and big guys,
    Bigger than I,
    As far as my love
    Will never die.

    Be beauty,
    My shiny honey,
    You surround me
    With your souvenir

    One day we will join for ever
    And have rest together,
    We’re eternal by the choice we’ve made
    We’re beautiful through the poems we raise.

    5 juillet 2011
    POÉSIE

  • La Normande

    Une vache maigre
    Dans un champ de pâquerettes
    Mangeait du maquereaux
    Au vinaigre blanc

    Une coupe de champagne
    Et quelques olives
    Un yahourt au miel vert
    Pour finir ce repas

    Le ventre repus
    La vache maigre
    Se curait les dents
    Allongée, jambes croisées, elle s’allume une clope

    Elle regarde les nuages blancs
    Sous le ciel bleu
    Qui forme des petits lapins
    Ou des orang-outans

    Ca dépend de l’angle
    De la lumière
    De l’esprit
    De la pression atmosphérique

    Tout en faisant des ronds de fumée
    Profitant du calme
    Elle ne cesse de penser
    Aux prochaines vacances à Saint-Tropez

    Elle y croisera Loana
    Jay Z et Rihanna
    Boira des cocktails très cher
    Et dormira dans une piaule merdique très chère aussi

    L’année dernière en une semaine
    Elle avait claqué un an d’économie
    Mais ça fait bien à la rentrée
    De dire au collègue qu’on a bu un gin-feez sur la même terrasse que Grégory Basso

    Son plus gros problème c’est le célibat
    Elle a beau se faire belle
    Personne ne veut d’elle
    Bien que ses sabots ne soient pas crottés

    Les vaches même maigres
    Ca n’agite pas les foules
    Ca a l’oeil vide
    Et pas un pourcent de fougue et ça elle le sait

    Alors elle va faire un crédit chez Sofinco
    Pour se payer une belle peau de biche
    Peut-être tapera-t-elle
    Dans l’oeil d’un riche ?

    Ça c’est ce qu’elle espère
    En secret
    Finissant sa cigarette
    Dans ce champ de pâquerettes

    La vie est dure pour les vaches
    Surtout quand elle lisent Voici
    Elles fantasment
    Et ça s’arrête là, ça va pas plus loin que le bout d’une phrase mal formulée.

    A quarante sept ans
    Elle est toute seul, sans veau ni boeuf.
    Et finira sans doute
    En peau de vache.

    4 juillet 2011
    AUTRES AUTEURS

  • Ep.14 – 18 + 82 = 100

    Grande mégère aigrie et méprisée
    Cache petite salope acidulée,
    Assise sur un coin de banc public
    Elle mate, gants serrés, langue frénétique.

    Jeune et beau Poney fringant
    Cache romantique et vieil amant
    Sabots très vigoureux
    Dans charentaises
    Très très grosse fleur bleue
    Dans chaussettes anglaises.

    Rencontre impromptue des deux égarés
    Qui emboîte bite et cul sur fond chamarré.
    Poney aime les vieilles choses moderne
    Pupute aime jeune qui fait ça à l’ancienne

    Petite mégère aigrie et méprisée
    Cache grande salope nympho et préparée,
    A tous les délices, à toutes les poésie,
    Aime les gros mots en forme de zizi

    « Je n’ai de bite que pour ton cul »
    Lui répond Poney agile et endurant
    Elle n’a de chatte que pour crier
    Et rugit pour ces années de silence

    Il aime sa voix rauque, sa naïveté centenaire
    Elle succombe à sa grande expérience si fraîche
    Mais Poney de fer forgé aime les fesses fripées
    Et long clito tombant aime les intrépides titans

    A eux deux ils ont cent ans,
    Comme deux destins monté à l’envers
    Qui court après le temps
    Pour fourrer son partenaire

    Fellations sans âge
    Sur rumeurs assassines
    Ils se sucent tout ce qu’ils peuvent
    Au mépris des voisines,

    Mégères aigries et coincées,
    Qui débattent des ébats
    Sur un mauvais coin de palier
    En chuchotant tout bas.

    Mais les cris de petite salope acidulée,
    Continu de tapager la cage d’escalier.
    « Mon Burin, Mon Marteau, Mon Pioche !
    Tu tape, tape, tape tout au fond de ma gorge ! »

    La Vieille à vaste chatte
    Et à grand cul ramolli,
    Epuise la bite d’attaque
    Du Poney intrépide.

    Il la r’garde du haut de sa teub
    Tendrement et repasse
    Derrière son oreille
    Une mèche de ch’veux épars

    Elle l’observe de très près
    Bouche et cul béant
    Comme loupes ou lunettes
    Pour aimer aveuglément.

    Grosse salope qui s’assume
    Aime Poney obsédé nostalgique
    Et en se baisant ils s’écument
    De leur désirs interdits.

    23 juin 2011
    POÉSIE

  • Musique = garage à bides

    Voilà ce que m’inspire en toute cruauté la création musicale actuelle, des chiens avides en train de téter les dernières gouttes du lait d’un Art qu’on a assassiné.

    En ce moment quand je me connecte au news CULTURE de Google, je tombe sur des trucs passionnant. Genre le nouveau clip de Giuseppe, le dernière prod’ de Senna, FX et le… je sais pas comment appeler ça de #WTFIS ??!! Vanessa (#WTFIS ??!! = Mais putain c’est qui cette meuf ??!!).
    Des tubes à la pelle, perles rares de la création musicale.
    Franchement j’ai juste mal au coeur.
    Tous ces acharnés perdus qui ont cru qu’être célèbre serait la solution à tout, aidés par une industrie dont le but primaire (et non premier) est de faire du fric, sont tout simplement en train de faire d’un Art un objet puant de commerce.
    On reproche au public d’insulter les « artistes », qu’ils le méritent ou pas.
    Je reproche aux « artistes »/boites de prod et consorts, une absence tellement angoissante de créativité que ça me donne envie de mettre des coups dans les murs.
    Après y’a celles et ceux qui à partir d’une once de crédibilité artistique se lance dans des « carrières » qui partent dans tous les sens. Encore faudrait-il qu’ils aient la Sagesse de se concentrer sur une seule et unique tâche jusqu’à la faire du mieux qu’ils peuvent. Mais non, les égos flatulent tendent malheureusement à se dilater plutôt qu’à se remettre en question. C’est le grand #gape des nombrils, attrapes-merdes 1st Class, aussi choquant et répugnant que la pire des mauvaises pornographies.
    Et à nouveau ils se plaignent de se faire insulter, qu’ils le méritent ou pas.
    C’est ainsi que vient le Grand Moment ou je dis que scientifiquement Mon Objectivisme Justifie Ma Subjectivité. Car comme les propositions qui me sont faites engagent mon intelligence et mon bon sens, je suis obligé de répondre à la vue de ces oeuvres que mon goût irait davantage vers la dégustation fécale que vers l’écoute de ces cris bestiaux et absurdes.
    Il faudrait que je conserve toute ma bienséance, comme un enfant bien élevé à qui on demande son avis sur le poisson pané de la cantine : « C’était délicieux », les yeux encore rempli du mauvais goût industriel du bloc plâtreux qu’on a foutu dans son assiette. Mais je ne suis plus un enfant et je rectifie : « Non ce n’était pas délicieux, c’était tout bonnement dégueulasse. »
    Et je vomirais aussi Google de se permettre de classer sous le terme de CULTURE ces ‘infos’ au contenu plus flasque que les seins de mon Arrière-Grand-Mère.
    Comme vous pouvez le constater, j’enrage un peu plus chaque jour. Et oui ça me donnerait même envie d’aller injurier personnellement ces individus qui se demandent :
    « – NON mais t’es QUI pour me juger ??! » « – Le connard à qui t’as potentiellement tenté de vendre ton album. Pourri. »

    18 juin 2011
    PROSE

  • La liste

    Les choses qu’il ne faudrait jamais oublier, mais qu’on oublie toujours parce que si on s’en souvenait ou pourrait pas en inventer des nouvelles.
    (A lire avec en fond sonore The Miracle de Queen)
    Now close your eyes, turn off your computer, and think about something you’ve never thinking of.
    (……………..silence……………………………………………………………………….
    …………………………………………………………………….silence…………………
    ……………………………………..silence……………………………………………….)

    (Une dernière pensée émue pour les hordes sauvages de jeunes pré-pubères qui sont en train d’en chier grave leur race sur des sujets Philosophico-mes-sseufs médiocres pour obtenir leur Baccalauréat, conçus par l’un des ministères les plus en crise actuellement. #RIP. Soon it gonna be over.)

    16 juin 2011
    IMAGES

  • Image sub-liminale

    Serait-ce là un hasard ou un signe du Destin ?

    14 juin 2011
    IMAGES

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