Grande mégère aigrie et méprisée
Cache petite salope acidulée,
Assise sur un coin de banc public
Elle mate, gants serrés, langue frénétique.
Jeune et beau Poney fringant
Cache romantique et vieil amant
Sabots très vigoureux
Dans charentaises
Très très grosse fleur bleue
Dans chaussettes anglaises.
Rencontre impromptue des deux égarés
Qui emboîte bite et cul sur fond chamarré.
Poney aime les vieilles choses moderne
Pupute aime jeune qui fait ça à l’ancienne
Petite mégère aigrie et méprisée
Cache grande salope nympho et préparée,
A tous les délices, à toutes les poésie,
Aime les gros mots en forme de zizi
« Je n’ai de bite que pour ton cul »
Lui répond Poney agile et endurant
Elle n’a de chatte que pour crier
Et rugit pour ces années de silence
Il aime sa voix rauque, sa naïveté centenaire
Elle succombe à sa grande expérience si fraîche
Mais Poney de fer forgé aime les fesses fripées
Et long clito tombant aime les intrépides titans
A eux deux ils ont cent ans,
Comme deux destins monté à l’envers
Qui court après le temps
Pour fourrer son partenaire
Fellations sans âge
Sur rumeurs assassines
Ils se sucent tout ce qu’ils peuvent
Au mépris des voisines,
Mégères aigries et coincées,
Qui débattent des ébats
Sur un mauvais coin de palier
En chuchotant tout bas.
Mais les cris de petite salope acidulée,
Continu de tapager la cage d’escalier.
« Mon Burin, Mon Marteau, Mon Pioche !
Tu tape, tape, tape tout au fond de ma gorge ! »
La Vieille à vaste chatte
Et à grand cul ramolli,
Epuise la bite d’attaque
Du Poney intrépide.
Il la r’garde du haut de sa teub
Tendrement et repasse
Derrière son oreille
Une mèche de ch’veux épars
Elle l’observe de très près
Bouche et cul béant
Comme loupes ou lunettes
Pour aimer aveuglément.
Grosse salope qui s’assume
Aime Poney obsédé nostalgique
Et en se baisant ils s’écument
De leur désirs interdits.
Réponses
Parle moi d’amour, dit moi des mots tendres………..
🙂 On en parle jamais trop