Theodor J. Mayer

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  • EN FAIT JE SAIS PLUS VRAIMENT OÙ J’EN SUIS

    PLACÉ UN SOLEIL COUCHANT ENTRE LES JAMBES D’UNE FILLE POUR PARLER D’ASTUCES ÉCOLO,
    JE NE SAIS PAS VRAIMENT SI ÇA FAIT SENS.
    POURQUOI ENTRE SES JAMBES ?
    EST-CE UNE FAÇON DE RECONNAÎTRE QUE LE SOLEIL ET LA CHATTE DES FEMMES SONT L’ORIGINE DE LA VIE ?

    MAIS QUEL EST LE RAPPORT AVEC LES ASTUCES ÉCOLO ?

    QUEL EST LE RAPPORT AVEC LES ASTUCES ÉCOLO ?

    QUEL EST LE RAPPORT AVEC LES ASTUCES ÉCOLO ?

    QUEL EST LE RAPPORT AVEC LES ASTUCES ÉCOLO ?

    QUEL EST LE RAPPORT AVEC LES ASTUCES ÉCOLO ?

    C’EST PIRE QUE NE PLUS SAVOIR VRAIMENT OÙ J’EN SUIS. C’EST L’ESSENCE DE LA FATIGUE.

    16 octobre 2017
    PROSE

  • LE COMPLOT MONDIAL DONT VOUS ÊTES LE HÉROS #1 – Un demi milliard de mails

    Un demi milliard de mails.
    Un demi milliard de mails, m’attendent dans ma boîte.
    Des centaines de milliers de millions de lignes
    Qui disent comment,
    Pourquoi,
    Avec quel produit,
    De quelle manière,
    Et pour quelle raison
    Il faut que j’existe.

    —————–Un demi milliard de mails
    Un demi milliard de mails et des centaines de milliers de millions de lignes.
    Ils m’attendent,
    Je le sais.
    L’Ordre Mondial à ma Porte,
    Au pied de ma Messagerie.
    Qui parlent dans ma tête
    #jelesentendtoutletemps
    Des injonctions,
    Des conseils,
    Des vérités universelles
    Se bousculent dans mes yeux.
    Ils ont planté en moi la certitude inébranlable que je dois continuer à chercher.
    C’est un complot.
    #jelesentendtoutletemps
    C’est un complot mondial, écrit en plusieurs langues.
    Je ne sais pas qui
    Ni combien d’êtres humains dirigent,
    Nourrissent,
    Développent ce complot.
    Tout ce que je sais c’est qu’on me fait oublier qui je suis.
    Violemment.
    Constamment.
    Individuellement.
    Face à ma solitude,
    Face à mon ordinateur.
    Ils me disent :
    « Je sais mieux que toi-même qui tu es.
    Fais-moi confiance.
    J’ai ce qu’il te faut.
    J’AI CE QU’IL TE FAUT. »
    #jelesentendtoutletemps
    #ilsaventmieuxquemoi
    Une masse sans couleur,
    Sans lumière,
    Fond sur mon esprit.
    Un doute,
    Majeur,
    Mineur,
    Absolu,
    Formidable,
    Misérable,
    Enfantin,
    Final,
    Broie précisément les colonnes de mon esprit.
    Je les écoute et je ne sais plus qui je suis.
    #jelesentendtoutletemps
    #ilsaventmieuxquemoi
    #jenesaisplusquijesuis
    Je ne sais plus d’où je viens
    —————–Je regarde dans leur direction
    Je ne sais plus où je vais
    —————–L’aboutissement qu’ils me tendent s’éloigne sans cesse
    Je ne sais plus où je suis
    —————–Ils m’ont dit que ma place se trouve dans un paradis qui ne cesse de se déplacer
    Je ne sais plus quand je suis
    —————–Ils ont tué le passé, glorifié le futur et fait du présent une zone impossible
    Je ne sais plus qui je suis.
    #jelesentendtoutletemps
    #ilsaventmieuxquemoi
    #jenesaisplusquijesuis
    #ilsontlaformedemonangoisse

    En réalité je suis actuellement seule, débout, au milieu d’un désert, d’eau, de sable, de pierre, d’arbres.
    Et je ne sais qu’une seule chose, c’est que je peux encore respirer.

    2 Mai 2017
    POÉSIE

  • GOOGLE SHITS

    IL Y AVAIT BIEN LONGTEMPS QUE NOUS N’ÉTIONS PAS ALLÉS CONSULTER L’ÉTAT DE NOTRE GRAND INCONSCIENT COLLECTIF DANS LES MÉANDRES DES INTERNETS.

    NOUS VOILÀ BIEN RASSURÉS, NOUS SOMMES TOUJOURS AUSSI STUPIDES/NAÏFS/ANGOISSÉS/TORDUS.

    FLORILÈGE DES QUESTIONS QUE SE POSE LA FRANCE AUJOURD’HUI, FIN DE L’AN 2016.

    TOUT VA BIEN. TOUT-VA-BIEN. TOUT VA BIEN ON VOUS A DIT. TOUT VA TRÈS BIEN. JE LE RÉPÈTE UNE DERNIÈRE FOIS, TOUT VA BIEN !

    moules

    LES GRANDES QUESTIONS EXISTENTIELLES I –
    COMBIEN SERVIR DE MOULES PAR PERSONNES (POUR LE DINÉ DE NOËL) ? EST-CE QUE CE MONDE EST SÉRIEUX ? DOIS-JE RIRE ? OU M’ÉVISCÉRER ? DOIS-JE PRENDRE DU RECUL ? OU PLEURER DES LARMES DE SANG ?

    titine

    LES GRANDES QUESTIONS EXISTENTIELLES II –
    QUI EST TITINE ? UN ÊTRE UNIVERSEL ? UN ESPRIT SUPÉRIEUR ? L’ESSENCE DE NOS ÂMES ? NOTRE MÈRE À TOUS ? DIEU ?
    MENTION SPÉCIALE POUR « UNE FEMME ».

    hommes-les-grandes-questions-naives

    LES GRANDES QUESTIONS EXISTENTIELLES III –
    LES QUESTIONS FONDAMENTALES SONT LES PLUS SIMPLES ET LES PLUS PROFONDES. MAIS INTERNET ET SURTOUT GOOGLE NE SERONT MALHEUREUSEMENT JAMAIS EN MESURE DE RÉPONDRE À UN TEL QUESTIONNEMENT. CF CI-DESSOUS.

    poissons-les-grandes-questions-existentielles

    LES GRANDES QUESTIONS EXISTENTIELLES IV –
    GOOGLE, MOTEUR DE RECHERCHE RAPIDE ET FONCTIONNEL, VIENDRA AU SECOURS DES PARENTS DÉMUNIS FACE À UN ENFANT D’ENVIRON 5/6 ANS. POUR LA SUITE DÉBOURILLEZ-VOUS.

    caca-les-grandes-questions-existentielles-1

    LES GRANDES QUESTIONS PRATIQUES I –
    SI CETTE QUESTION EST DRÔLE, ELLE SURTOUT INQUIÉTANTE POUR CELLUI QUI SE LA POSE. CELA SOUS-ENTEND QU’UN JOUR, CETTE PERSONNE S’EST TROUVÉE DANS UNE SITUATION SUFFISAMMENT EMBRASSANTE POUR REMETTRE EN CAUSE SA FAÇON DE FAIRE CACA. DÉBROUILLEZ-VOUS AVEC ÇA AGAIN.

    noisette-les-injustices-2

    LES GRANDES QUESTIONS PRATIQUES II –
    L’ÉLÉMENT LE PLUS INQUIÉTANT DE CETTE QUESTION EST SANS CONTESTE LE « MES » DE « MES NOISETTES ». AINSI DE QUELLES NOISETTES PARLE CETTE PERSONNE ?
    MENTION SPÉCIALE POUR LES GAUFRES MOLLES.

    wtf

    LES GRANDES QUESTIONS PRATIQUES III –
    NOUS POUVONS TROUVER LÀ, JE PENSE, LA RÉPONSE À LA CONSTRUCTION DES PYRAMIDES EGYPTIENNES. CE N’ÉTAIT DONC QUE ÇA.

    si-je-change

    LES GRANDES SENTENCES MORALISATRICES I –
    MERCI.

    21 décembre 2016
    IMAGES

  • LEARN TO SAY ‘FUCK…

    « Learn to say ‘Fuck You’ to the world once in a while »

    Sol LeWitt

    soinsintimes
    Les soins intimes, ce que cela signifie, ce que l’on vend sous ce nom.
    La peur, le dégoût, la question : comment est-on une femme aujourd’hui ?
    Je ne sais pas, mais avec tous les paradoxes que je contiens en tant qu’être humain,
    il m’arrive de ressentir le besoin urgent d’envoyer péter ce genre de symbole pesant.
    Parce que je ne suis pas heureuse que des centaines de milliers de femmes portent des tampons toxiques en se disant qu’elle sont hyper libres.
    JOKE.

    JOKE.

    I’m a slave 4 U //  HIT ME BABY .. WORK BITCH .. = BRISE ÇA ;
    Pose ton tampax sur la table comme d’autres posent leurs couilles.
    Abandonne-le là. Tu n’en plus besoin.

    L’ÉGALITÉ DU SEXE C’EST CONNAÎTRE CELUI DE L’AUTRE

     

    6 décembre 2016
    IMAGES

  • À ce moment

    Je croyais que j’étais en pierre
    Alors que toi tu m’aimes

    Mes faiblesses se retournent contre moi
    Alors que toi tu m’aimes

    C’est le retour de mes absences
    Alors que toi tu m’aimes

    Je ne suis qu’un…

    CE POÈME N’EST PLUS DISPONIBLE DANS SON INTÉGRALITÉ DEPUIS SA PARUTION DANS L’OUVRAGE COLLECTIF À L’OUEST LES POÈTES.SES AUX ÉDITIONS EX-MAUDITS DISPONIBLE ICI ET EN LIBRAIRIE. POUR LA SUITE RENDEZ-VOUS DANS LE LIVRE 🙂

    4 juin 2016
    POÉSIE

  • SELFIE #3 : « J’irais vous montrer mes seins » – Odyssée du naked selfie

    Capture d’écran 2016-03-31 à 18.13.38
    Je suis absolument incapable de savoir si montrer un petit bout de ses seins sur Twitter en faisant des fuck peut, d’une manière ou d’une autre, libérer la femme du joug ancestral et stupide inhérent à la culture hétéro-patriarcale dans laquelle on vit.
    J’en sais tellement rien que lorsque je regarde cette photo je ne sais pas ce que je vois.
    Deux personnes ? Deux rebelles ? La figure féministe libératrice qui manquait à mon existence ? Deux individus de sexe féminin montrant leur doigts ? Rien ? Tout ?

    Pourquoi la société fétichise-t-elle les corps féminins ? Pourquoi ne pas pouvoir montrer nos tétons ? Pourquoi devoir les cacher ? Pourquoi tellement de paradoxes ?
    Mais pourquoi la barre noire, la censure ? Pourquoi l’auto-censure ? Pourquoi ça peut les libérer ?
    Pourquoi pas autre chose ? Pourquoi rester dans cette logique ? Pourquoi un acte réalisé à moitié ? Pourquoi une telle soumission à l’argent ? Au pouvoir ? Au désir de pouvoir ? Au besoin de faire influence ? Pourquoi rester dans les limites que les autres imposent ? Pourquoi ne pas dépasser ces limites ?
    Pourquoi être aussi frileux.se ? Pourquoi être aussi tiède ? Pourquoi être pragmatique face à sa propre rébellion ? Pourquoi ne pas faire tomber cette barre ? Pourquoi ne pas aller jusqu’au bout ?
    Qu’est-ce que ça bouleverse de se mettre torse nu si c’est pour se mettre une auto-censure dessus ?
    Qu’est-ce que ça change ?
    Qu’est-ce que ça change ?
    Qu’est-ce que ça change ?
    Qu’est-ce que ça change ?
    Qu’est-ce que ça change ?
    Qu’est-ce que ça change ?
    Qu’est-ce que ça change ?
    Qu’est-ce que ça change ?
    Qu’est-ce que ça change ?
    Qu’est-ce que ça change ?
    Qu’est-ce que ça change ?
    J’aurais aimé que les gens aillent au bout de leurs actes, plutôt que d’afficher mollement leur capacité à faire des (faux) débats juste parce qu’ils-elles savent faire du marketing.
    C’est un trader qui parle de communisme, c’est plus mou que la bite que je n’ai pas.
    Être libéré.e mais pas assez folle pour laisser fermer un compte Twitter.
    Culotte froide, un milliardaire qui lâche 10.000 euros. Que dalle. Le prix de la culotte en question. Une promesse contractualisée, risque niveau 0.
    En fait je ne vois pas grand chose.

    31 mars 2016
    IMAGES

  • Selfie de Route

    ROUTE2
    JE
    VOIS
    LA
    LUMIÈRE
    COURIR
    SUR
    MES
    YEUX

    JE
    VOIS
    MON
    OMBRE
    DE
    L’AUTRE
    CÔTÉ
    D’UN
    OCÉAN

    JE
    VOIS
    LE
    TEMPS
    PASSER
    SUR
    LA
    MUSIQUE
    ÉLECTRIQUE

    JE
    VOIS
    L’ODEUR
    DES
    ROUTES
    GRAVÉES
    SUR
    L’ARRIÈRE
    DE
    MA
    PEAU

    16 octobre 2015
    IMAGES, POÉSIE

  • SELFIE#2 : Soi-même est un Autre

    soulshadow

    Ombre et moi-même

    (╥﹏╥)

    schizophrenia2

    Schizophrenia

    (╥﹏╥)

    jenetécoutepas

    (J’)Écoute-Moi

    (╥﹏╥)

    lovemyselfie

    Love Myself-ie

    (╥﹏╥)

    siamois

    Sia-moi

    LOL

    Je ne crois pas qu’il soit question de réfléchir mais plutôt d’illustrer.

    15 septembre 2015
    IMAGE, IMAGES

  • Ville // Chantier

    Dawn over densely-built residential towers in Yanjiao, China, a suburb of Beijing.
    Dawn over densely-built residential towers in Yanjiao, China, a suburb of Beijing, March 23, 2015. A new megalopolis around Beijing, Jing-Jin-Ji, is to cover ground the size of Kansas and have a population about six times larger than the New York metropolitan area. (Sim Chi Yin/The New York Times) *** Local Caption *** 14698439
    ASIA CHINA URBANIZATION SUPER CITY MEGALOPOLIS URBAN PLANNING POPULATION GROWTH

    Un pas, deux pas… 
    Tout en haut du toit
    Sur la terrasse de la tour 
    Etrange panorama 

    Le vent sur les muscles 
    Car plus de peau 
    Abandonnée plus bas 
    Pour monter plus haut. 

    Des kilomètres de vent
    Qui ne touchent plus l’horizon
    Qui cherchent le sol
    Mais se perdent dans le fet d’une forêt de béton

    J’ai escaladé des colonnes d’hommes 
    Des chaînes d’os et de chaires
    On a actionné la machine à axiome, 
    Lancé le chantier de la terre 
    Dans cette ville
    On construit des bâtiments 
    Fondés sur des mensonges 
    Battus de songes immenses 
    Des tours
    Sur des centaines d’étages 
    Qui empilent des idées, 
    Des codes, des messages
     
    Et les hommes qui ont donnés leurs corps 
    Embrassent ces immeubles mouvants 
    Échafaudages macabres et branlants
    De leurs membres presque déjà morts 

    Des chaînes d’os retiennent des chaires tendus 
    Autour de ces bâtiments qui suturent
    Milles intentions en devenir
    Sur ces plate-formes on construit de l’avenir 
    Il n’y a pas de bruit,
    Il n’y a pas de voix
    Que les grincements… qui crient 
    Que le vent… qui rugit. 

    Ma vision se trouble 
    La chaleur m’étouffe
    Si peu d’ombre tant de lumière !
    Braquée sur ces montagnes de poussière…
    Pas de pluie
    Pas de pluie depuis des mois,
    Rien que du soleil
    Qui coule sur tous les toits. 

    Tout en haut du plus haut 
    De tous les balcons
    Sur la terrasse de la plus grande tour 
    J’ai regardé cette ville
    Et ces piles d’idées ratées 
    Amassées comme des trésors
    Sur les étagères d’un musée 

    C’est l’histoire qui brisent les hommes ? 
    Ou les hommes qui tuent le temps ? 
    Est-ce que je suis une victime ?
    Est-ce que je veux être une offrande ? 

    Tous les visages se confondent 
    Sur les façades percées de plaies 
    J’essaye de voir le monde
    Et les hommes en entier 

    Ils ont donné leur corps
    À ce qu’ils pensaient possibles 
    D’un passé invisible,
    Des pavés d’une cité d’or. 

    Et toutes ces chaînes d’os et ces parois de chaires 
    Qui rampe le long des barres
    Se crispent de crampes à vouloir tuer sa misère 
    Grincent et se cambrent sous le poids de la matière 

    Au pied de la ville j’ai tout abandonné 
    Et il n’y a dans mes mains
    Qu’une poignées d’instants
    Que je veux sauver 
    Et je sais, je sais trop que si j’ouvre les doigts 
    Ils se diffuseront dans l’air
    Jusqu’à ce que je perdes… Le fil
    Le fil, jusqu’à les oublier 
    Et les laisser prendre place 
    Parmi les piles d’idées ratées. 

    Le soleil en plein visage
    Les muscles battus par le vent 
    Au pied de la potence
    Je regarde ce moment 

    Il prend la forme d’un chiffre
    La racine carré du sens de la vie
    Il me dit que si je veux être libre
    Je dois tout abandonner

    Alors j’ouvre la main 
    Desserre mes doigts
    Et laisse la lumière fondre 
    Ce qui ne m’appartient pas 

    Le soleil en plein visage…
    Et sur les muscles…
    La caresse de l’éventail de tous les moments possibles 
    Le temps sans paresse atteint toujours sa cible 

    Tous les visages se confondent 
    Aux façades percées de plaies 
    Maintenant je vois le monde
    Et les hommes en entier 

    Avec mes os avec ma peau
    Je vais grossir les chaînes et monte sur l’échafaud 
    D’une ville en sentence perpétuelle
    Sur le plus haut du plus hauts de tous les balcons 
    Sur la terrasse de la plus grande tour
    Regarder une dernière fois la ville
    Fondée sur des piles
    D’idées ratées
    Prises dans les bras d’humain en chantier 

    9 avril 2015
    POÉSIE

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