




Avant de nous quitter, une dernière blague anglophone anti-hipster. A bon entendeur.
Merci au blog Pourquoi Comment (malheureusement en cessation d’activité).





Avant de nous quitter, une dernière blague anglophone anti-hipster. A bon entendeur.
Merci au blog Pourquoi Comment (malheureusement en cessation d’activité).
Il démêle lentement
Mes longs cheveux
De crin, de paille puis de soie,
S’écoule le long de mon dos
Les restes de la crème
S’écoule le long de…
CE POÈME N’EST PLUS DISPONIBLE DANS SON INTÉGRALITÉ DEPUIS SA PARUTION DANS L’OUVRAGE COLLECTIF À L’OUEST LES POÈTES.SES AUX ÉDITIONS EX-MAUDITS DISPONIBLE ICI ET EN LIBRAIRIE. POUR LA SUITE RENDEZ-VOUS DANS LE LIVRE 🙂

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And last but not least… Amore al Pomodoro ! (L’amour à la tomate)
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Heureusement qu’il y a la bite…
Pour faire la grande fête des 8.000 visiteurs, Poneyland vous offre cette superbe image pleine de bôôtè.
« La seule chose absolue dans un monde comme le nôtre, c’est la teub. » Albert Einstein
« Il n’y a pas de teubs droites dans le monde. » Mao Zedong
« Un jour Poneyland rentrera dans la bourse avec la teub. » John Keynes
« Je n’aurais jamais une grande teub, mais, en travaillant, je peux encore espérer en devenir une bonne. » Marilyn Monroe
« Mon pire concurrent aux élections de la teub, c’est bien Poneyland. » Théodore Roosevelt
« C’est un petit pas pour l’homme, mais un grand pas pour la teub. » Neil Armstrong
« I want to BITE free » Freddie Mercury
La rentrée, l’automne, le froid qui vient,
Qui s’en va… et qui revient.
Des idées, des envies nageant dans l’inconnu,
Un grand néant géant
Aux formes floues.
Saisir des instants
Qu’on rend pas trop précieux
Pour ne pas avoir peur de les perdre.
Egréner les pages web
Un peu comme secouer de la merde
Observer l’étalage de la solitude mondiale
Sur des blogs à fort potentiel fécal
Comme ici, comme partout,
Les yeux bandés,
Les yeux qui bandent mous
Devant les banalités des autres que je vomis,
Et celles que je produis.
Alors le plus souvent, j’attends.
Tu voudrais tracer avec violence
Les contours du présent,
Déchirer, marteler au couteau.
Mais tu sais bien
Que ça ne sert à rien,
Toutes les réponses sont déjà là,
A l’intérieur,
Même pas cachées juste inaccessibles,
Parce que la raison place toujours trop loin
Ce qui se dit ailleurs qu’en son sein…
Les choix s’imposent trop fort,
Ils tombent comme des oiseaux morts
En travers
De la route si petite
Que tu ne peux pas les éviter.
Avec le temps la route se resserre
De plus en plus,
Et il faudrait faire comme si on était très très libre,
Avec plein de place autour de soi,
Pour bouger, pour se mouvoir,
Pour être heureux,
Faire ce qu’on veut.
Connaître le chemin,
Regarder droit devant soi
Pour se bâtir
Un bel avenir
Une belle carrière,
Forger avec les restes flamboyants
Du passé offert
Sur un plateau d’argent.
Les blessures, les contusions,
Les refus, les déceptions,
Vouloir et pouvoir mais ne pas y arriver.
Pourquoi ?
C’est le cul débordé par les nouilles,
La chance qui se retourne
C’est la connerie de la douleur,
A croire que ça rend bête de souffrir.
Il faudrait se mettre à poil au milieu de la place publique,
Pour obtenir un peu d’intérêt,
Un peu de respect.
Mais non toi tu tailles en secret
Des diamants plus pur
Encore que l’esprit de la Nature… = « Alors là tu rêves ! »
—> Rêver à des jours meilleurs,
Au passades glorieuses d’une existence chaotique.
Je cherche la logique, les plans de construction
« Excusez- moi,
Est-ce que je peux savoir pourquoi on a foutu la salle de bain au milieu du salon ? »
Monter, casser, remonter des murs,
Mettre le lavabo au centre de la maison
Pour bien montrer à tout le monde
Que tu te laves soigneusement les dents.
Aujourd’hui j’ai des tonnes de bombes atomiques,
Du dentifrice et des brosses à dents pour cent ans,
Les plans foireux de l’architecture de la vie,
Et les mêmes phobies qui se répètent éternellement.
« Bonjour, tu es retourné 8 mois en arrière. »
Les mêmes mains, la même idée,
Le même poème.
Dans ma tête ça tourne en rond
Et aujourd’hui ça me fait un peu peur,
Je suis pas prête pour l’écran bleu
Ni pour rencontrer ma dernière erreur.
Et aujourd’hui j’ai bien compté
J’en ai 403 au compteur.
« On a tous dans le fond
Une chanson magnifique
Qui résumerait nos vies
D’un coup de baguette magique
Une musique merveilleuse
Qui accompagnerait chaque instant
Pour les rendre plus fort
Que tous les tourments. »
Et ça c’est la mienne :
Moi j’me dis
Que des fois
Quand tu surgis
Et qu’il fait froid
T’as envie
D’un beau manteau
Et que je mordille
Tes roploplos
Tu es très vieille
Donc ça s’voit pas
Qu’t’es en émoi,
Que je te réveille
Le Niagara
Dans le coton
De tes gros bas
De ton pantalon
Tu venais juste
Pour un blouson
Mais tu veux le jus
D’un beau garçon
La classe mondiale
Dans un blue jean
Une belle timballe
Sur Billy Jean
Ha, c’est pas bien
Il s’ra déçu
Ton bon copain
Le p’tit Jésus
Car toi t’es entière
Ca j’en suis sur
Tu veux d’la pure
Balade vulgaire
Et si tes cuisses
Ne sont plus lisses
Et qu’ta carcasse
Est à la ramasse
Moi je rénove
Par les parois
Ton port d’Hanovre
Ton bavarois
Je vais dresser
Ton ancien tigre
Le caresser
Le rendre liquide
Avec un doigt
Avec un pied
Te toucher l’foie
Te pincer l’nez
Et tu crieras
Comme une sirène
L’plaisir qu’t’auras
Dans ton diadème
Ha, c’est pas bien
Il s’ra déçu
Ton bon copain
Le p’tit Jésus
J’veux pas d’tes tartes
Ni d’tes tartines
Je veux TES CARTES
Et vive LAPINE
Tu reviendras
Pour des vêtements
Et tu n’trouveras
Qu’un bon amant
Je te ferai
Bien oublier
Les officiers
D’tes jeunes années
Ceux-là qui ont
Formé tes fesses
A la caresse
‘Vec munitions
J’vais t’faire
Sauter les sandalettes
Avec mon fer
Ma baillonette
Je serai là
Comme une spatule
Quand tu voudras
Un nouveau pull
Ha, c’est pas bien
Il s’ra déçu
Ton bon copain
Le p’tit Jésus
Cette année, Tomas Tranströmer, et non pas Transförmer, poète suédois méconnu chez nous (vu l’ouverture d’esprit nationale en terme de poésie) a reçu le prix Nobel de littérature. Donc Amis Poètes ! Réjouissons-nous !
Mais alors :