L’une des idoles des poneys (Davidounet) dans une performance parfaitement hallucinante. Un instant de pur délire.
(Oups… presque une petite crise d’angoisse)
L’une des idoles des poneys (Davidounet) dans une performance parfaitement hallucinante. Un instant de pur délire.
(Oups… presque une petite crise d’angoisse)
Prendre un instant, et lâcher prise :
= Ceci est une éjaculation d’huitre.
= Ou une partie de billard forcément gagnante.
Un jour un Poney,
Se promenant dans le vie
Atteint les rives
Du pays de la drogue.
Et un jour il le dit à ses parents :
La drogue c’est mal. Qu’on se le dise.
Bien avant que Poetland n’existe, l’Angleterre rendait déjà hommage en toute délicatesse à la sensualité généreuse de ta grand-mère.
So in english,
Yes Sir,
Don’t matter
If you care
I swear,
My Sweety,
My Honey,
In Shakespeare’s langage,
Is the mother of your mother,
Meaning in other words,
I love your Grand-Ma
In all the deepness of her heart.
(Special Thanks to K.A. for the discovery)
Lorsque le miracle arrive : Quand ma passion pour Street Fighters rencontre ma nature de Poney, ça donne ça.
Les choses qu’il ne faudrait jamais oublier, mais qu’on oublie toujours parce que si on s’en souvenait ou pourrait pas en inventer des nouvelles.
(A lire avec en fond sonore The Miracle de Queen)
Now close your eyes, turn off your computer, and think about something you’ve never thinking of.
(……………..silence……………………………………………………………………….
…………………………………………………………………….silence…………………
……………………………………..silence……………………………………………….)
(Une dernière pensée émue pour les hordes sauvages de jeunes pré-pubères qui sont en train d’en chier grave leur race sur des sujets Philosophico-mes-sseufs médiocres pour obtenir leur Baccalauréat, conçus par l’un des ministères les plus en crise actuellement. #RIP. Soon it gonna be over.)