Poneyland en voyage au Pays du Néant,
N’a plus du tout d’inspiration.
Poneyland souffre terriblement,
De rien avoir dans le caleçon.
Poneyland pleure,
Tout seul dans sa chambre
Mais il reste fier
Et endure avec Honneur
Quand se réveillera
Le génie dans son esprit,
Il écrira de nouveau
Ses petits poèmes de bandit.
Poneyland à posé les armes
Mais juste pour pas longtemps,
Car quand Poneyland reviendra
Et ben ce sera sanglant ! Yo !
Réponses
L’inspiration c’est comme un vieux jean, quand on l’a pas sur soi, on se sent à poil. Du coup on ose pas sortir. Mais en fait on marche assez bien sans, il suffit de se fixer une direction ou aller.
C’est vrai ça… Disons que pour le moment on tâtonne, à poil, et pour le moment ça fait froid. Mais je pense bien que ça va changer. En tout cas merci, cette belle image me redonne espoir !
(J’ai l’impression que tu es passé par là… non ?)
oui effectivement, ça fait un moment que j’ai l’inspiration d’un chien mort.
Ahahah je kiffe « l’inspiration d’un chien mort », c’est trop ça !
Merci, faut croire que j’ai été paradoxalement inspiré.
C’est clair, totale lucidité. Quand la description du manque d’inspi’ permet l’approche d’un niveau supérieur de création détaché de l’inspiration elle-même.